13/05/2009

Plants de "patates"

Dimanche 10 mai dans l’émission « Capital » il y avait un reportage sur la culture des pommes de terre Bio dans le désert Egyptien. Tous nos grands magasins importent ces pommes de terre pour pouvoir vendre du « Bio. On peut penser que pour nourrir les Egyptiens nous leur vendrons nos pommes de terre récoltées dans le Nord de la France. Ça fait beaucoup de transport de pommes de terre et si les voyages forment la jeunesse, alors il faudra apprendre à parler aux pommes de terre pour qu’elles nous racontent leur voyage…
Pour continuer dans le même humour je dirais que la solution c’est d’aller les manger sur place !
Mais il me semble que la France a la capacité de faire de la nourriture saine. il faut continuer d’aller vers une agriculture plus résonnée en réduisant les apports de produits chimiques, et surtout utiliser l’agriculture de proximité. Un bon début de gaspiller moins ! Les anciens parlaient de bon sens, à nous de le recultiver !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

J'ai vu l'émission. Ce que j'ai retenu sur la question des pommes de terre égyptiennes - soi-disant bio - est "plus pire" que ça.
On voit clairement - en off - que les contrôles des autorités égyptiennes sont - à tout le moins - accommodants. Il est bien clairement question de produits interdits.
Les contrôles français se bornent à vérifier la conformité des papiers délivrés par une société allemande. Ca ne vous rappelle-pas les certificats de conformités de l'Erika délivrés par une société Italienne ?
On veut croire qu'en bout de chaîne la grande distribution qui appose, quelquefois, ses marques propres opère elle-même des contrôles sérieux sur les producteurs.

Anonyme a dit…

Bonjour,
J'espère que les lecteurs de l'article sur les patates égyptiennes prendront également le temps de lire le très intéressant article intitulé "l'incroyable faillite du bio français" publié par l'hebdomadaire "le point" N° 1914 daté du 21/05/09.
Tout ne peut se régler en un claquement de doigt et on a tous du travail à faire pour motiver intelligemment nos élus et les représentants du monde agricole.